Revendu à prix plus élevé aux consommateurs
Le principe du recel est simple : des clients achètent dans un premier temps l’Oculus Rift, puis le revendent à un prix plus élevé aux consommateurs. Pour Oculus VR, cette situation est loin d’être plaisante ; « Oui, c’est une véritable déception que de devoir suspendre les ventes en Chine à cause de reventes massives », exprime leur représentant. Mais la société tient à rétablir la situation avant de poursuivre les ventes. « Nous tenons à nous assurer que nous faisons tout notre possible pour que les receleurs qui cherchent à détourner notre produit pour faire du profit ne le fasse pas au détriment des développeurs légitimes à échelle mondiale. »
Un produit réservé aux développeurs
En effet, Oculus VR rappelle que l’Oculus Rift n’est pas encore disponible à la vente grand public. « Notre produit, dans sa forme actuelle, est un kit de développement, destiné aux développeurs qui proposent des travaux sur la réalité virtuelle. » Loin de vouloir bannir l’Oculus Rift en Chine, l’objectif est véritablement de permettre aux développeurs chinois d’avoir accès à la technologie en trouvant des alternatives à ce problème. Le message est également de faire comprendre à ceux qui achètent le kit de développement qu’il est préférable de ne pas le faire s’ils le font simplement à titre de test ou bien en tant que consommateurs. C’est ce qui a ici amené à fermer les ventes à un pays entier.